Dernière modification 04/05/2022

L'histoire / Saga de la Golf


Au royaume très concurrentiel des compactes, la Golf de Volkswagen règne sans partage depuis plus d'un quart de siècle ! Fort du succès interplanétaire de la Coccinelle, le constructeur de Wolfsburg est une nouvelle fois parvenu à transformer un de ses modèles en véritable voiture de légende. De fait, les générations passent et la Golf jouit toujours d'une réputation sans faille. Et cela n'est sûrement pas prêt de s'arrêter...



Genèse d'une indispensable réflexion...

Le début des années 70 coïncide avec un moment d'introspection du côté de Volkswagen. Si la Coccinelle a réussi le tour de force de s'imposer aux quatre coins de la planète, ce modèle phare a pris un sérieux coup de vieux. La notoriété de Volkswagen, qui devait énormément à la petite berline à moteur arrière, se trouve menacée.
D'autant que la 411, ersatz de Coccinelle sortie à la fin des "sixties", a été un fiasco complet ! La mode est désormais aux compactes à traction que les manufacturiers allemands n'ont pas encore visité. Une bonne idée ? Rien n'est moins sûr...
La K70, berline élancée et première traction avant estampillée "VW" proposée en 1970, est un échec commercial malgré des qualités indéniables. Trois ans plus tard, la Passat tarde à trouver son public (comme le coupé Scirocco). Autrement dit, la firme de Wolfsburg peut craindre un véritable coup de froid au moment de présenter une... Blizzard qui deviendra Golf.

Golf I : les débuts en fanfare !

La réussite ne se fait pas attendre. Public et experts plébiscitent une automobile à la ligne résolument moderne, aux finitions classieuses et à la mécanique rodée. Propulsée par des moteurs de 1.1 l et 1.5 l délivrant 50 et 70 chevaux respectivement pour une boite à quatre vitesses. Les commandes affluent et les usines du groupe tournent à pleine cadence.
Volkswagen ne tarde guère à tirer avantage de cette popularité naissante. Loin de se contenter de ce succès, le manufacturier allemand tient à capitaliser. Septembre 1975 voit donc éclore la première version sportive de la Golf. Sportive, elle en a l'allure avec son écartement de roues élargi, ses sièges baquets ou ses suspensions abaissées. Mais, sportive, elle l'est également sous le capot. Volkswagen propose un moteur à injection essence -signé Audi- de quatre cylindres et 110 chevaux.
Une telle motorisation sur une compacte de tout juste 810 kg transforme la Golf GTI en petite bombe capable d'atteindre les 180 km/h. La concurrence est scotchée et mettra des années à rattraper son retard. C'est la GTI et la cabriolet qui façonneront en grande partie la légende Golf.


Simple et légère la Golf 1 proposait une belle alternative à la 205. La GTI s'imposa comme l'une des petites sportives les plus convaincantes. Sa cote reste correcte aujourd'hui en raison de cette très bonne notoriété. La version cabriolet s'arrache désormais en occasion plus de  trente ans après ... Son gabarit à l'époque tient plus de la citadine que de la compacte.


La GTi et le cabriolet sortent dès la première génération de Golf

Golf II : une fiabilité à toute épreuve !

L'automne 1983 voit Volkswagen présenter sa Golf II. Redessinée, elle accroit l'habitabilité en agrandissant considérablement son habitacle qui gagne près de 20 cm en longueur. Des modifications sont de fait apportées au niveau de l'empattement, de la direction et des suspensions. Mais plus que ces changements techniques, les adeptes de la Golf retiendront avant tout l'apparition de la Golf GTD, équipée d'un turbo-diesel, le pendant de la désormais mythique GTI.


Avant 1987, la Golf II n'a que 2 phares en façade



Dès le deuxième numéro la Golf sort du créneau des citadines pour s'établir comme une compacte faite pour accueillir confortablement 4 personnes. Elle monte ainsi en gamme et peut enfin se vendre aux petites familles dont la Golf 1 était trop juste en habitabilité. Cette deuxième génération n'a pas droit à une version cabriolet.

Golf III : une compacte au dessus du lot

La version III de la Golf envahit pour sa part les routes à partir de 1991. En droite ligne de la Golf II, celle-ci voit son style légèrement rafraichi pour coller au goût du moment en arrondissant les angles et en gagnant un peu de hauteur. Dès lors, c'est du côté de la tenue de route et de la motorisation qu'il faut chercher les principales évolutions.
Pourtant, la Golf jouit déjà en ce domaine d'une réputation de "voiture increvable" auprès du grand public. Fiabilité et longévité caractérisent clairement la Golf. Estimée à 300 000 km, les retours d'expérience font apparaitre que la durée de vie de nombreuses Golf dépasse les 600 000 km !
Pour autant, "VW" continue de développer ses moteurs. De fait, la Golf III conservera bonne cote sur le marché de l'occasion durant de nombreuses années. En tout cas, longtemps après la fin de sa production en 1997.


La Golf 3 s'impose tout simplement comme la meilleure compacte du marché. Qui peut proposer un style aussi abouti, une finition aussi travaillée et des moteurs aussi avancés sur leur époque ? Personne ... La Golf 3 détient une réputation de fiabilité avérée (si on oublie le lève vitre qui reste un problème récurrent à toutes les Golf depuis 30 ans ...). Par dessus cela VW se met à proposer une version VR6 qui fait encore rêver beaucoup d'amateurs de belles mécaniques. 6 cylindres débordant d'énergie (environ 200 ch) dont la sonorité vous hérissera les poils sur les bras. Sans aucun doute la Golf 3 se révèle l'un des modèles de la lignée les plus spectaculaire pour l'époque.


Pour l'époque l'intérieur était tout simplement ce qui se faisait le mieux chez les compactes. Et oui l'A3 n'existait pas encore et les autres marques ne semblaient pas chercher à proposer une qualité équivalente.


Cette troisième version intronise la version break. Sa ligne est classique voire ennuyeuse ... Et cette tradition perdurera jusqu'au 7ème modèle qui devient plus "sexy".


Le cabriolet revient sur cette troisième génération


Après la GTi voici la la VR6. Et là ça ne rigole plus du tout ... On passe à un 6 cylindre de presque 3 litres qui développe entre 175 et 200 chevaux. La sonorité est exceptionnelle et aucune compacte ne lui arrivait à la cheville. Croyez-moi, ce modèle restera dans les annales.

Golf IV : la voiture des records !

La présentation de la Golf IV se déroule à Francfort en septembre 1997. Pour résumer, celle-ci est plus longue (4 150 mm contre 4 020 mm à la Golf III), plus large (1 735 mm contre 1 700) et plus lourde que ses devancières. Évidemment, les ingénieurs de "VW" s'escrimeront pour proposer de constantes évolutions moteurs (on pense notamment aux V5 et V6). Surfant sur sa réputation d'infaillibilité, le constructeur allemand offre en sus une garantie de 12 ans sur ces nouveaux modèles. Côté confort et sécurité, airbag et ABS sont proposés de série. La climatisation suivra dès le printemps 1999.

Assez étrangement, le modèle Cabriolet -sorti à l'été 1998- trouve ses fondements sur la... Golf III. Si celui-ci diffère principalement par ses optiques plus en rondeurs, le niveau d'équipement proposé est toutefois à la hauteur des modèles nouvelle génération. Le break, nommé Variant, suivra en octobre 1999 avec la particularité de présenter un correcteur électronique de trajectoire (ESP) de série.
Au moment de faire le bilan de cette Golf IV, le succès est colossal. Fin 2003, la barre des 4 300 000 unités produites a été franchie. Mais, courant 2002, les dirigeants de Volkswagen avaient déjà eu tout loisir de se réjouir. En effet, avec 21 517 415 sorties d'usine, la Golf avait supplanté la mythique Coccinelle en termes de vente.


Cette fois cette nouvelle génération de Golf n'est plus toute seule à proposer du premium dans la catégorie des compactes, car la fameuse A3 (qui repose sur le même châssis) est sortie sur le marché peu de temps avant. C'est pour moi la plus réussie des Golf sorties jusqu'à présent, sa ligne est à la fois élégante et originale (à force d'en voir on finit par l'oublier). Elle propose alors des moteurs dernière génération (TDI), une finition et une présentation qui encore aujourd'hui sont remarquables. Le niveau atteint désormais celui des berlines de segment supérieur. Hélas quelques soucis de fiabilité viennent un peu entacher le tableau même si dans l'ensemble cela reste correct.


Les optiques arrière dépendent du niveau de gamme. Ici c'est le haut de gamme, les versions moins onéreuses ont un orange bien marqué pour les clignotants. De plus, la version Match (dernière série) a aussi eu droit à des optiques particuliers (clignotants en gris)

L'intérieur est très sérieux, mieux à l'époque que tout ce qui se faisait. Seul défaut, un style considéré comme un peu trop austère.


Comme sur la troisième génération, le break est tout simplement bâclé ...


Le quatrième opus est une "petite arnaque". En effet, il s'agit d'une Golf 3 à laquelle on a adapté tant bien que mal des optiques avant de Golf 4. L'arrière ne change quant à lui pas du tout, tout comme l'intérieur !


Bien plus réussie que le cabriolet, la R32 (pour 3.2 litres) est la digne suite de la VR6. Elle développe 240 chevaux et peut désormais se frotter à de très grandes rivales !

Golf V : inspiration en baisse ...

La Golf V débarque en concession au cours du second semestre 2003. Se démarquant peu de sa devancière, que ce soit par son aspect intérieur qu'extérieur, elle s'embourgeoise tout juste de par sa nouvelle calandre. Toutefois, le véritable événement a lieu en février 2005 avec le grand retour d'une Golf GTI résolument sportive : 200 chevaux sous le capot, volant en cuir et sièges baquets, jantes alu et becquet arrière... Mais climatisation, ordinateur de bord, airbags et ESP ne sont pas oubliés en série... Il faudra en revanche attendre jusqu'à mai 2006 pour voir débarquer l'EOS. Elle succède à la Variant dans le rôle de break. Particularité, l'EOS sera déclinée en un coupé-cabriolet très réussi sur la base de... la Passat. Au final, la Golf V connaitra un habituel succès d'estime sans pour autant faire l'événement.


Pour cette cinquième génération la Golf grandit encore un peu et se révèle encore un peu plus statutaire. Les défauts de la version précédente ont été gommés à savoir l'habitabilité faiblarde et le comportement routier un peu pataud qui décevait les amateurs de dynamisme. Hélas, son style ne convainc pas autant que la précédente. L'avant est sans grande conviction et l'arrière est lourd visuellement ... La finition reste aussi bonne mais la présentation est des plus standards. Les problèmes de fiabilité ne sont pas effacés et les soucis de volant moteur et turbo sont assez courants sur les TDI. Elle inaugure les moteurs essence dernière génération à savoir les TSI dont le principe est le downsizing, un terme qui ne vous aura surement pas échappé même si vous n'êtes pas amateur de mécanique. Il s'agit donc de réduire les cylindrées pour réduire les consommations.


Certaines versions plus huppées (dont GTi) ont droit à une face avant bien plus réussie comme vous pouvez le voir. Elle existe aussi avec la calandre chromée comme sur la Passat et le Touran de même génération.





On l'attendait au tournant. Certains affirment que la qualité est en baisse mais ce n'est pas le cas. L'ensemble bénéficie d'une finition toujours au top ! Et cette fois-ci c'est un peu moins blafard.


Voici la Golf 5 R32 qui n'est qu'une suite assez proche de la version précédente. Elle abandonnera cette appellation sur la sixième génération. A noter que la GTI existe toujours et n'a jamais disparu, la R32 étant la version ultra radicale.


Voici la version break dite Variant

Golf 6 : très classique ...

La sixième génération, lancée dès 2008, était donc attendue. Si les traits ne varient que peu, les experts noteront une touche de Scirocco dans la proue et une pincée de Touareg concernant les feux arrières. Idem dans un habitacle qui n'est pas sans rappeler celui de la Passat CC.
Toujours aussi soucieux du moindre détail, Volkswagen a apporté sur cette Golf VI un soin tout particulier à l'insonorisation (film anti-bruit, joints portières). Autre innovation, les moteurs Diesel font peau neuve avec le TDI à rampe commune décliné de 90 à 170 chevaux. Côté essence, deux nouveaux blocs de 122 et 160 chevaux viennent compléter la gamme.
Enfin, la modification technique la plus importante réside dans une nouvelle boite à double embrayage (DSG). Voilà qui devrait contribuer un peu plus à la légende...


On ne peut pas dire le contraire, la Golf 6 reste désirable. Mais n'aurait-on pas pu proposer quelque chose de moins classique ? Chaque nouvelle Golf me fait regretter les surprises que furent les versions 3 et 4 qui à chaque fois surprenait. Ici il n'y a pas besoin d'être expert pour constater que la marque a repris la base de l'ancienne mouture pour réduire encore un peu plus les frais de développement. Cette fois-ci les problèmes de fiabilité semblent avoir été quasiment éradiqués.


La Golf 7 aura cette fois un châssis nouveau dénommé MQB et qui sera partagé avec tous les modèles (de moyenne et petite taille) des marques Audi et Volkswagen. Cette structure est dite de modulable et son rôle principal est de réduire les coûts de fabrication. Au lieu de redévelopper un nouveau châssis à chaque modèle autant en faire un sur lequel on pourra y mettre "tout et n'importe quoi" (Golf, A3 etc ...).


Pas vraiment mise en valeur sur cette photo, la finition fait partie pour cette sixième génération desmeilleures de sa catégorie. Cependant c'est la fin d'une époque, il ne sera désormais plus aussi simple de trôner en haut du podium niveau finition puisque les BMW Série 1 II, Audi A3 III, Mercedes Classe A, Volvo V40, Seat Leon 3 etc. viennent proposer elles-aussi des finitions de haut standing. Fini donc le monopole de la qualité, tout le monde s'y met !






Fini la R32, place à la Golf R. Normal car il aurait été humiliant de l'appeler Golf R19 ... Car le R32 était là pour les 6 cylindres de 3.2 litres. Ici le moteur perd deux cylindres et voit sa taille rabaissée à 1984 cm3, soit à peu près le même volume qu'un banal 1.9 TDI ... Malgré tout, il développe ici 270 chevaux.


Le break trahit bien le fait que la Golf VI n'est qu'une V remaniée


Golf 7 : sobre mais toujours attirante

La Golf 7 repart sur un nouveau châssis qui exploite la plateforme MQB du groupe Volkswagen. Parmi les nouveautés on note surtout l'apparition de versions électriques et hybrides.




En haut la version classique (première finitions) et en bas les versions plus haut de gamme avec feux led et bande chromée qui traverse la calandre.




Voici la version R-line, un pack sport décoratif


Les GTi et GTD ont évidemment droit à un bouclier plus travaillé


Voici l'hybride


Voici l'électrique



L'intérieur est digne d'une Passat. La Golf était déjà au top, et bien elle se cramponne sur ses excellents acquis !


On arrive enfin à quelque chose de correct. Les feux sont quasiment les mêmes que sur la compacte, les fans devraient apprécier.


Si la Golf bénéficie depuis longtemps d'une transmission intégrale, la septième version a cette fois-ci droit à un look de baroudeuse (Alltrack)




Voici la version restylée de fin 2016


Restylage de la GTi


Pack R-Line

Golf 8 : fin d'un règne ?

Si la recette de la Golf a fonctionné longtemps, force est de constater que le business model commence un peu à s'étioler ... A cela s'ajoute des critères qui ne sont plus respectés, comme par exemple la qualité de fabrication qui était l'un des principaux arguments de vente de la Golf. Enfin, la concurrence s'est étoffée et rend l'Allemande bien moins remarquable, surtout à une époque où on tente des choses avec plus d'audace que par le passé, la Golf passe alors pour une grand-mère qui n'a plus rien de tendance ni même de chic.
Techniquement parlant c'est tout aussi ennuyeux, rien de nouveau à voir ici même si il faut avouer que la 7 avait déjà pas mal bossé : version électrique et hybride bien avant la concurrence. Mais avec l'ID.3 qui est vendue en parallèle, l'e-Golf perd tout intérêt et paraît complètement obsolète, et c'est d'ailleurs pour ça qu'elle n'a pas été reportée sur cette huitième génération.
Bref, pour la première fois dans l'histoire de la compacte les choses deviennent très difficiles ... Il faut dire que les responsables semblent s'être un peu trop reposés sur leurs lauriers, mais il faut-il peut-être y voir d'autres conséquences du Dieselgate ...


SI la rigueur d'assemblage est très bonne, les matériaux sont quant à eux devenus très quelconques ...


La qualité allemande en a pris pour son grade ...


Le regard triste a souvent été évoqué ... En tout cas on comprend désormais mieux pourquoi elle a une aussi mauvaise mine ! Elle sait bien qu'elle n'est plus à la hauteur de sa réputation ...


L'arrière reprend les gimmicks du Tiguan qui a près de 10 ans ... Bref, on connaissait l'arrière de la Golf 8 bien des années avant qu'elle ne sorte. Le conservatisme est ici poussé à son paroxysme !


Les versions p^lus haut de gamme ont malgré tout un peu plus de prestance


Le break reste très conventionnel, mais il faut dire que la Golf n'a jamais réussi à magnifier ce type de carrosserie


La GTi


La R reprend la même stratégie que par le passé : même bloc que la GTI avec une cartographie plus généreuse et une transmission intégrale



La seule nouveauté et la seule exubérance se situe dans la possibilité d'avoir un bandeau lumineux sur toute la largeur de la calandre


La signature lumineuse de la GTi copie sans scrupule l'idée de Renault sur ses RS ...


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