200 km/h
11.3 s
230 NM
Conso. ≈ 6.7 litres
130 g/km (WLTP)
Hybride (28 ch) : Boîte électrifiée (technologie propriétaire)
: Non rechargeable
: 0 km en 100% électrique
: 0.9 kWh
Bien que léger en conditions familiales, cette version arrive toutefois à sauver les meubles à vide ... Et il est donc difficile de trancher car si cela est acceptable en l'état dès qu'on exploite la logeabioité de l'engin on souffre trop au niveau des accélérations et reprises.
Le moteur 1.2 PureTech embarqué ici correspond à la seconde génération, reconnaissable à l'abandon de la courroie imbibée d’huile. Il bénéficie d’une refonte interne importante, avec près de 40 % de composants revus. Un détail rassurant pour les plus inquiets côté fiabilité. Quant au système hybride, il reste plutôt modeste dans son approche. Il s’agit d’une hybridation légère en 48V, bien que l’architecture technique rappelle celle d’un vrai système full hybride. C’est en effet assez original de voir une boîte électrifiée fonctionner uniquement sous 48V. Ce choix s’explique par une volonté de standardisation en vue d’une déclinaison plus musclée à venir. Peugeot anticipe donc en utilisant le même ensemble boîte-moteur, quitte à le sous-exploiter ici. On se retrouve ainsi avec un montage assez sérieux, intégrant deux moteurs électriques : un premier dans la boîte elle-même, et un second placé côté courroie d’accessoires, comme c’est souvent le cas avec les micro-hybrides en 48V. L’agencement inédit des composants internes permet d’offrir 6 rapports, ce qui surclasse les solutions concurrentes comme l’E-Tech de Renault, limité à 4 vitesses avec une architecture bien plus classique. Autre avantage : cette transmission adopte un fonctionnement très proche d’une double embrayage, à un rapport près (voir notre article dédié pour les détails). Résultat : des passages de rapports réactifs et un frein moteur constant, là où certaines solutions concurrentes peinent, notamment en descente prolongée. La batterie affiche une capacité brute de 0,89 kWh pour environ 0,43 kWh utilisables. Le moteur électrique reste logiquement peu puissant, limité à 21 ch et 55 Nm. Toutefois, la gestion électronique empêche le cumul des puissances maximales, plafonnant le tout à 136 ch et 230 Nm, malgré une réserve théorique supérieure (157 ch et 285 Nm cumulés). L’usage en 100 % électrique reste purement symbolique, réservé aux très faibles vitesses. L’apport du système reste donc ponctuel, ciblé sur la baisse de la consommation, comme souvent sur les MHEV. Côté agrément, la boîte se montre efficace sans impressionner. Elle fait bien son travail, mais n’apporte pas d’émotion particulière. Le moteur, bien qu’amélioré, délivre une puissance plutôt modérée qui semble un peu en retrait par rapport au gabarit et au positionnement du véhicule. Le 3008 e-DCS6 reste dynamique dans l’absolu, mais ne procure pas d’enthousiasme notable. On est loin des performances marquantes attendues en 2024.
Dernier point : cette version ne permet pas de monter les jantes de 20 pouces. Un petit regret, surtout pour ceux qui aiment peaufiner l’esthétique.
Couple moteur qui arrive tôt (
1750t/min) favorisant une consommation réduite.
Caractéristiques techniques :
Moteur :
3 cylindres (1199 cc)
- Plus bruyant et vibrant qu'un 4 cylindres
Boîte(s) de vitesses :
Automatique 6 vitesses
- (boîte électrifiée double embrayage 6 rapports)
Transmission(s) :
Traction (avant)
- (Typé sous-vireur : surpoids à l'avant)
Montes pneumatiques / Jantes :
19 pouces
- (225/55 R 19)
- (235/55 R 19 : Très légère tendance au roulis)
Consommation 1.2 Puretech e-DCS6 hybride 136 ch (5 DERNIERS témoignages) :
- Consommation moyenne 6.2 L/100km (1.2 Puretech e-DCS6 hybride 136 ch 10000km finition GT)
DERNIER problème signalé :
- J’ai trouve que la puissance du frein régénératif pour la batterie est plus faible par rapport au début de mon utilisation (mise à jour ?)
Un épisode d’écran noir à 9500km , qui a re fonctionné après redémarrage (1.2 Puretech e-DCS6 hybride 136 ch 10000km finition GT)
Autres modeles ayant le même moteur : 3008 - Grandland X -