Plan de l'article :
À l'issue d'un contrôle, si des défaillances sont relevées, le véhicule peut être soumis à une contre-visite. Celle-ci peut être qualifiée de "majeure" ou de "critique" selon la gravité des défaillances observées. Voici les principales différences entre ces deux types de contre-visites.
Une défaillance mineure lors du contrôle technique est un défaut sans impact significatif sur la sécurité ou encore l'environnement, n'imposant ni réparation obligatoire ni contre-visite.
Une défaillance majeure se réfère à des problèmes qui compromettent le bon fonctionnement du véhicule ou qui peuvent entraîner des dangers sur la route, mais qui ne nécessitent pas une immobilisation immédiate du véhicule. Il y aura toutefois une contre-visite à la clé...
Conséquences :
Une défaillance critique, quant à elle, désigne un défaut qui représente un danger immédiat pour la sécurité des usagers de la route ou pour l'environnement. Ces défaillances impliquent généralement un risque élevé d'accident ou de dysfonctionnement majeur. La sévérité de ces défauts impose des mesures immédiates pour garantir que le véhicule ne présente pas un danger potentiel sur la voie publique.
Conséquences :
La distinction entre une contre-visite majeure et critique repose essentiellement sur l'urgence et la gravité des défauts détectés. Une défaillance majeure demande une réparation dans un délai relativement long (2 mois), tandis qu'une défaillance critique entraîne une immobilisation immédiate du véhicule et un délai très court (24 heures) pour réaliser les réparations.
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