Vie à bord X2 (2024)

De la première génération à la deuxième, le X2 a largement évolué vers quelque chose de plus familial. En effet, rien que le gabarit annonce la couleur puisqu'il passe de 4.36 mètres à 4.55 mètres. 19 cm en plus ça ne passe pas inaperçu !
Le résultat est une habitabilité en hausse avec notamment un deuxième rang devenu très accueillant, rien à craindre là dessus. Le tunnel central est ici bien plsu proéminent que sur le X1 car le plancher est bien plus creusé, le faisant alors bien plus ressortir.. Dommage car cela vient largement empiéter sur l’espace aux pieds du passager du milieu,.

Habitabilité 2ème rang :
Volume de coffre (560 L) :
Confort de suspension :
Confort iX2 (?lec.) + 17p 205mm :
Confort M Sport 18p :
Confort M Sport xDrive 20p :
Finition / Présentation :
Infodivertissement :
Places assises :
5
Empattement * :
2.69 m

* : l'empattement est un indice important sur l'habitabilité

Le coffre aussi gagne en espace avec rappelons-le 470 litres sur l'ancien.
On varie sur ce deuxième opus de 515 à 560 litres selon les versions, avec la plus petite soute pour le 20i sDrive (qui devrait pourtant être le plus spacieux techniquement parlant ...), 525 litres pour les électriques et 560 litres pour le reste des thermiques.










Côté rangements, on croit d'abord à une belle générosité, mais en y regardant de plus près, il n’y a finalement aucun grand rangement fermable à l’'avant. La console centrale propose un petit compartiment fermé assez symbolique, et l’espace en dessous est trop exposé : on voit tout ce qu’on y met, et les rebords bas n’aident pas à maintenir les objets en place.


La recharge à induction placée verticalement permet de garder un œil sur le téléphone en roulant, mais le système de maintien, pourtant bienvenu pour éviter qu’il glisse, vient en contrepartie masquer partiellement l’écran. Un peu frustrant.


La modularité est plutôt bien pensée avec une banquette arrière en trois parties (40/20/40) au lieu des deux habituelles. Elle coulisse sur deux segments mais se rabat en trois, ce qui permet plus de flexibilité. Une fois rabattue, la surface obtenue reste correcte, même si ce n’est pas totalement plat — mais rares sont les modèles qui le proposent vraiment.

Finition

À première vue, l’intérieur impressionne : les matériaux sont bien choisis, les cuirs respirent le sérieux et les assemblages frôlent le sans-faute. On sent que BMW a voulu jouer la carte du raffinement, et dans l’ensemble, ça fonctionne. Pourtant, au milieu de cette montée en gamme, quelques fautes de goût viennent gâcher la fête.


Prenez les poignées de portes intérieures : elles sont en plastique dur, brut, presque bas de gamme. Un comble quand on sait que c’est l’élément que l’on manipule le plus souvent ! Le contraste est d’autant plus flagrant que le reste de la portière est plutôt flatteur au toucher. On se retrouve donc avec le plastique le moins valorisant pile à l’endroit le plus sollicité. Une aberration difficile à justifier, qui donne l’impression que certaines décisions ont été prises à la va-vite ou sans réflexion sérieuse.

Même constat au niveau de la console centrale, où un insert de plastique dur trône en plein milieu de ce qui devrait être la vitrine de l’habitacle. L’effort est visible sur le plan esthétique, avec une belle mise en scène autour de l’accoudoir flottant et de la double dalle numérique, mais ces petits détails mal choisis finissent par ternir l’ensemble. Dommage, car la base est bonne.

Infodivertissement

Avec ses deux écrans de série (10,25 pouces pour le combiné et 10,7 pouces pour l'’infodivertissement), le X1 aligne une diagonale généreuse qui donne l’impression d’en avoir pour son argent. Mais dans les faits, ce n’est plus franchement un argument fort aujourd'’hui, tant la concurrence s’est alignée. Et malgré la finesse des dalles et la belle profondeur des couleurs, la forme rectangulaire et assez rigide des écrans limite leur polyvalence. Par exemple, surfer sur le web ou consulter une carte devient bien plus pratique chez tesla ou chez Mercedes.



Mais c’est surtout l’ergonomie logicielle qui vient ternir un peu le tableau. Il faut prendre le temps de comprendre l’organisation de l’interface, car ici, l’intuition n’est clairement pas au rendez-vous. BMW a préféré miser sur l’esthétique que sur la logique pure, et ça se ressent dès les premiers kilomètres. On perd aussi la molette de l’ancien iDrive, ce qui rend les manipulations parfois laborieuses, surtout en roulant. Tout passe par l’écran tactile, avec les limites que ça impose.

Le combiné numérique placé face au conducteur reste tout à fait lisible et agréable au quotidien. On aurait toutefois aimé un peu plus d’options de personnalisation ou d’éléments visuels dynamiques, comme une carte GPS en couleur par exemple, histoire de rendre l’expérience un peu plus ludique et immersive.


Compléter cet article









 
    OUVRIR    
 



Vous possédez ou avez possédé une BMW X2


Moteur :

Utilisation :

Autres infos utiles décrivant votre auto :
(Boîte, kilométrage, année, jantes, finition/millésimeetc.)


N'hésitez pas à développer / approfondir vos écrits, c'est très apprécié.

Qualités :



Défauts :



Consommation moyenne (L/100 km ou kWh/100km + autonomie électrique si VE) :



Problèmes / dysfonctionnements rencontrés :



Note :

/20

Assurance :

Tarif payé :    euros/an

Commentaire libre facultatif (ce dernier sera affiché à la suite de votre avis).



E-mail facultatif (permet la modification ultérieure de votre avis) :

Articles BMW


Infos BMW

Nouveautés auto

Choisir une voiture

Fiabilité / Entretien

Avis auto

 

© CopyRights Fiches-auto.fr 2025. Tous droits de reproductions réservés.
Nous contacter - Mentions légales

Fiches-auto.fr participe et est conforme à l'ensemble des Spécifications et Politiques du Transparency & Consent Framework de l'IAB Europe. Il utilise la Consent Management Platform n°92.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant ici.