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Autres Fiches SERIE 1

Vie à bord Serie 1 (2025)

Peut mieux faire

La série 1 pêche encore par un volume de coffre et une habitabilité qui restent assez moyens si on fait le rapport avec l'encombrement de l'auto ... Tout d'abord, le coffre reste sans surprise identique avec 380 litres sur les versions dénuées d'hybridation MHEV, les autres tombent à 300 litres en perdant l'espace sous le plancher du coffre. Comptez donc plus 300 litres car il est très probable que vous optiez pour ce type de modèle, une valeur qui reste plutôt décevante pour une compacte moderne.

Niveau habitabilité arrière on reste aussi sur un espace limité qui n'a que très peu évolué (voire presque pas) par rapports aux anciennes propulsions qui étaient bien plus encombrées par les éléments techniques (arbre qui va vers l'arrière et donc tunnel de servitudu plsu conséquent, sans oublier le moteur qui était positionné un peu plus vers l'arrière, prenant de la place dans l'habitacle. Encore une fois, la passage du longitudinal au transversal n'a pas apporté les gains escomptés en terme de logeabilité, la Série 1 reste donc lacunaire sur le sujet. On garde toutefois une inclinaison de dossier à l'arrière suffisamment importante pour être assis confortablement, bien pour les longs trajets.

Niveau rangements pratiques on reste sur l'ancienne école, à savoir une console envahissante et peu logeable ... On a un mini rangement façon fente de boîte aux lettres sous la commande de ventilation (orientation), qui ne permet de mettre que quelques pièces de monnaie. On a en dessous un emplacement ouvert afin de recharger son téléphone par induction, accolé à deux porte-gobelets. Vient enfin l'accoudoir qui renferme un rangement clôturé et confidentiel.

Présentation / finition

C'est ici un drôle de résultat que nous propose BMW ... En voulant apporter un vent de modernité dans cet habitacle qui date d'une conception plus ancienne, on se retrouve avec quelque chose d'assez atypique dans le ressenti. Il y a ici la volonté d'épurer les choses tout en ayant la contrainte d'une planche de bord envahissante à l'ancienne. La qualité perçue est bien évidemment correcte mais ça ne sent plus autant le premium que par le passé. Les espèces de plastiques galvanisés façon faux métal sont relativement douteux, tout comme les autres plastiques environnants qui sont en majorité rigides et peu valorisants. Les généralistes modernes sont à peu près du même niveau, si ce n'est mieux pour certaines.

Toutes les finitions n'ont pas les mêmes formes d'éclairage d'ambiance

Infodivertissement

Avec deux écrans de série de 10.25 et 10.7 pouces (fins et offrant une belle profondeur des couleurs), on dispose d’une bonne vingtaine de pouces dans l’habitacle. Si cela peut sembler généreux, ça n’a finalement plus rien d’extraordinaire aujourd’hui. En prime, leur format très rectangulaire limite un peu la polyvalence. Naviguer sur Internet, par exemple, sera bien plus agréable dans une tesla. La Classe A équivalente de même génération souffre d’ailleurs du même défaut : elle n’a pas encore droit aux nouvelles dalles de la marque.

Pour 10 euros par mois on peut avoir une connectivité qui permet de regarder des films en streaming et accéder de manière plus générale à des fonctionnalités étendues.

Côté interface, l’ergonomie laisse un peu à désirer. Il faut prendre le temps de comprendre comment tout est organisé, ce qui n’est pas le cas chez les marques qui misent davantage sur l’évidence et la simplicité d’utilisation. On sent que le design a primé sur l’intelligence fonctionnelle. Dommage aussi que la molette de l’iDrive ait disparu : tout se fait désormais à l’écran tactile, ce qui ajoute une couche de complexité. Le combiné d’instrumentation est quant à lui lisible et agréable, mais il manque un peu de fantaisie ou d’options d’affichage pour vraiment séduire, comme une carte en couleur par exemple.

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